Qu'y a-t-il de commun ?
- aux traitements alternatifs contre le cancer (des faux spécialistes sympatiques et très en vogue),
- à préférer l’effondrement ensoleillé à la réponse coordonnée au dérèglement climatique (vite vite un avion pour le ski)
- à la montée des groupuscules d'extrême droite (la baston ok, mais une bonne bière à la main ; lire le dernier Medor)
- à l'effondrement des Etats Unis (un bon gros chef direction l’enfer, mais qu’est ce qu’il en jette yeah).
EMOTION > RATIONNEL
(prends ça dans tes dents l’intello)
Ca a sans doute toujours été comme cela, je ne suis pas assez vieux et trop nul en histoire.
Toujours est-il qu'où que je regarde, le pattern est le même : un immense mensonge avec un beau projet et un large sourire gagne systématiquement sur l'approche scientifique et sa prudence un peu stijf.
Ce n'est pas 100% mauvais ou criticable.
Ça dit quelque chose de l'envie de "se sentir vivant", d’"y aller accompagné", d'"être de l’aventure".
Ça en remet une couche sur l'importance des émotions.
Puis qui sait. Il y a peut-être là un antidote à l'effondrement ?
Et si l'approche scientifique s'habillait d'empathie, de tripes et d'aventure ?
C'est peut-être ce qu'évoque Aurélien Barreau avec son appel à la science poétique ?
Anyway. A méditer pour éviter, peut-être, de s'en aller crever avec grande certitude mais le sourire aux lèvres.
- aux traitements alternatifs contre le cancer (des faux spécialistes sympatiques et très en vogue),
- à préférer l’effondrement ensoleillé à la réponse coordonnée au dérèglement climatique (vite vite un avion pour le ski)
- à la montée des groupuscules d'extrême droite (la baston ok, mais une bonne bière à la main ; lire le dernier Medor)
- à l'effondrement des Etats Unis (un bon gros chef direction l’enfer, mais qu’est ce qu’il en jette yeah).
EMOTION > RATIONNEL
(prends ça dans tes dents l’intello)
Ca a sans doute toujours été comme cela, je ne suis pas assez vieux et trop nul en histoire.
Toujours est-il qu'où que je regarde, le pattern est le même : un immense mensonge avec un beau projet et un large sourire gagne systématiquement sur l'approche scientifique et sa prudence un peu stijf.
Ce n'est pas 100% mauvais ou criticable.
Ça dit quelque chose de l'envie de "se sentir vivant", d’"y aller accompagné", d'"être de l’aventure".
Ça en remet une couche sur l'importance des émotions.
Puis qui sait. Il y a peut-être là un antidote à l'effondrement ?
Et si l'approche scientifique s'habillait d'empathie, de tripes et d'aventure ?
C'est peut-être ce qu'évoque Aurélien Barreau avec son appel à la science poétique ?
Anyway. A méditer pour éviter, peut-être, de s'en aller crever avec grande certitude mais le sourire aux lèvres.